Quand arrêter une thérapie ?

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Le 14 août 2025
Quand arrêter une thérapie ?Quand arrêter une thérapie ?
Quand arrêter sa thérapie ? Paulo Romero Raglianti, psychologue clinicien à Uccle, vous aide à repérer les signes pour poursuivre ou conclure sainemen

Quitter ou ne pas quitter sa thérapie, that is the question.

Vous savez quoi ? Jusqu'à 79 % des processus thérapeutiques se terminent de manière prématurée. La thérapie, c'est souvent une aventure qui change tout, mais parfois, on se demande si c'est le bon moment pour dire stop. Paulo Romero Raglianti, psychologue clinicien installé à Uccle, partage ses conseils d'expert sur les signes qui montrent s'il est peut-être temps de mettre fin à une thérapie ou s'il faut continuer. Allons-y ensemble.

Comprendre les enjeux de l'arrêt thérapeutique
Arrêter une thérapie, c'est une décision qui touche tout le monde – des preneurs de décisions aux dirigeants, en passant par les professions libérales. Si c'est mal géré, ça peut tourner au vinaigre : les symptômes persistent ou s'aggravent, le risque de rechute grimpe, vous perdez tous les bénéfices accumulés, et vous finissez frustré ou avec un sentiment d'échec.

Prenez Charles, par exemple. C'est un chef d'entreprise qui suit une thérapie depuis plusieurs mois pour gérer son stress et ses conflits relationnels au travail. Au début, il progresse bien, mais là, il a l'impression de piétiner et pense à tout plaquer. Sans y réfléchir à deux fois, il pourrait tout perdre et voir ses problèmes revenir en force. Et vous, ça vous parle ?

Les bons signes pour poursuivre la thérapie (si vous ressentez ça avec votre thérapeute… continuez !)
Avant de songer à arrêter, vérifions si tout roule bien. Voici quelques signaux positifs qui disent "restez en piste" :

  • Vous ressentez une connexion authentique avec votre thérapeute et vous avez l'impression d'être vraiment écouté.
  • Vous avez le sentiment de travailler en collaboration avec le psychologue clinicien.
  • Vous vous sentez à l'aise pour aborder des sujets compliqués sans vous sentir jugé.

À l'inverse, certains trucs qui paraissent négatifs font en fait partie du jeu et ne signifient pas l'échec : pas d'amélioration immédiate, une aggravation temporaire des symptômes, des tensions passagères dans la relation, ou une confusion face au style thérapeutique. C'est normal, non ?

Savoir différencier les difficultés normales des vrais problèmes
La relation thérapeutique, c'est pas toujours simple. On y va souvent parce qu'on traîne des soucis bien ancrés dans notre passé ou notre personnalité.


C'est courant de trouver que ça n'avance pas assez vite. Mais posez-vous cette question : quelques heures après la séance, vous sentez-vous plus léger ou plus lourd ? Un coup de lourdeur de temps en temps, pas de panique. Mais si ça devient récurrent, parlez-en, ça vaut le coup d'explorer.

Bien terminer une thérapie avec Paulo Romero Raglianti
Si, après avoir bien réfléchi, vous pensez que c'est le moment d'arrêter, le plus important ? En parler ouvertement avec votre psychologue. Paulo Romero Raglianti s'engage à créer un cadre sécurisant et bienveillant pour discuter de ça sans stress.

Son approche ancrée dans la psychologie clinique, et ses 10 ans d’expérience, lui permettent de vous accompagner avec rigueur et humanité – que ce soit pour clore un chapitre ou ouvrir de nouvelles perspectives. Si vous êtes dans la région de Bruxelles, Uccle ou Ixelles, n'hésitez pas : contactez-nous pour un premier échange. On est là pour vous.